Le cyclisme est, depuis l'affaire Festina de 1998, à jamais assimilé au dopage. La difficulté de ce sport associée à sa médiatisation extrême lors du Tour de France a créé un engrenage infernal pour les coureurs professionnels.
Car l'internationalisation du cyclisme a mis le Tour au niveau des évènement sportifs majeurs de la planète. Comme dans le foot les droits télés ont explosés, et les meilleurs coureurs du classement UCI bénéficient de rémunérations conséquentes.
Mais pour cela, il faut des résultats sportifs. Tous les mauvais moyens sont bons pour les obtenir.
Aujourd'hui, c'est Alberto Contador qui est dans le viseur de l'Antidopage. Et malheureusement, ce n'est pas une surprise. Contador vient d'aligner sa troisième victoire dans le Tour de France, mais en 2006, encore jeune espoir, il avait été inquiété dans l'affaire Puerto. Il avait finalement été blanchi par la clémente justice espagnole.
Car les "dopeurs" ont toujours un temps d'avance sur les contrôleurs. Ils permettent à leurs "poulains" de passer à travers les contrôles officiels.
Mais parfois, lorsqu'ils trouvent une anomalie, les laboratoires de la lutte anti-dopage poussent leurs investigations. C'est le contexte de l'affaire Contador.
A l'origine le labo découvre une infime quantité de produits interdits. Notre cher Alberto incrimine une viande qu'il a fait venir d'Espagne pour la manger lors de la journée de repos du Tour (donc les vaches espagnoles seraient dopées ?). Bref, c'est sa ligne de défense. Mais le labo persévère et trouve dans les urines du champion espagnol d'importantes traces (8 fois la quantité à partir duquel le dopage est avéré) de résidu de plastique (plasticizer) : une matière transmise dans le corps lors des transfusions sanguines. La défense du maillot jaune s'en trouve sérieusement ébranlée, et le doute n'est plus permis.
Cependant, comme il s'agit d'un nouveau contrôle non reconnu par les instances dirigeantes du cyclisme, il est probable que Contador échappe une nouvelle fois à la sanction. Il continuera alors à tricher en toute impunité, comme d'autres...
Mais pour cela, il faut des résultats sportifs. Tous les mauvais moyens sont bons pour les obtenir.
Aujourd'hui, c'est Alberto Contador qui est dans le viseur de l'Antidopage. Et malheureusement, ce n'est pas une surprise. Contador vient d'aligner sa troisième victoire dans le Tour de France, mais en 2006, encore jeune espoir, il avait été inquiété dans l'affaire Puerto. Il avait finalement été blanchi par la clémente justice espagnole.
Car les "dopeurs" ont toujours un temps d'avance sur les contrôleurs. Ils permettent à leurs "poulains" de passer à travers les contrôles officiels.
Mais parfois, lorsqu'ils trouvent une anomalie, les laboratoires de la lutte anti-dopage poussent leurs investigations. C'est le contexte de l'affaire Contador.
A l'origine le labo découvre une infime quantité de produits interdits. Notre cher Alberto incrimine une viande qu'il a fait venir d'Espagne pour la manger lors de la journée de repos du Tour (donc les vaches espagnoles seraient dopées ?). Bref, c'est sa ligne de défense. Mais le labo persévère et trouve dans les urines du champion espagnol d'importantes traces (8 fois la quantité à partir duquel le dopage est avéré) de résidu de plastique (plasticizer) : une matière transmise dans le corps lors des transfusions sanguines. La défense du maillot jaune s'en trouve sérieusement ébranlée, et le doute n'est plus permis.
Cependant, comme il s'agit d'un nouveau contrôle non reconnu par les instances dirigeantes du cyclisme, il est probable que Contador échappe une nouvelle fois à la sanction. Il continuera alors à tricher en toute impunité, comme d'autres...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire