Ce weekend s'est déroulé la deuxième journée du Championnat d'Angleterre. Déjà, le festival offensif a débuté. Le public se régale de ce spectacle fabuleux, bien loin des matchs ternes de la Ligue 1 dans ce mois d'août pauvre en buts.
C'est aussi un drôle de Championnat dans lequel les internationaux français brillent de mille feux.
Je prend le cas Anelka : transparent (pour ne pas dire nul) en Bleu et en pleine réussite chez les "Blues" de Chelsea. Pourtant la concurrence y est rude. Il n'est pas aligné en attaque par Ancelotti en raison de blessures d'autres joueurs.
En ce début de saison, les Londoniens ont frappé très fort (2 fois 6-0 !), emmenés par le formidable duo des ex-guingampais Drogba-Malouda. Mais ils ne sont pas les seuls à "cartonner".
Je prend le cas Anelka : transparent (pour ne pas dire nul) en Bleu et en pleine réussite chez les "Blues" de Chelsea. Pourtant la concurrence y est rude. Il n'est pas aligné en attaque par Ancelotti en raison de blessures d'autres joueurs.
En ce début de saison, les Londoniens ont frappé très fort (2 fois 6-0 !), emmenés par le formidable duo des ex-guingampais Drogba-Malouda. Mais ils ne sont pas les seuls à "cartonner".
La "Premier League" a pour effet magique de révéler le meilleur des joueurs de haut niveau. Anelka n'est pas le seul dans ce cas. Les joueurs Anglais sont aussi des immenses joueurs de foot en club, mais la sélection nationale ne reflète absolument pas leur niveau alors qu'ils sont pourtant titulaires dans des équipes aux effectifs cosmopolites et très étoffés.
Pourquoi un tel contraste ? Je m'interroge, mais je n'ai pas de réponse, seulement quelques pistes.
L'ambiance qui règne dans les stades anglais qui affichent complets doit contribuer à la motivation des footballeurs.
Les meilleurs joueurs rejoignent les clubs anglais qui regroupent plus de 80% de l'élite du football mondial. Les affrontements hebdomadaires sont particulièrement relevés et spectaculaires car chacun veut se mettre en avant, pour conserver sa place ou attirer l'attention des recruteurs des grandes équipes.
L'accumulation de ses facteurs fait que chaque année, la Premier League prend une marge supplémentaire sur les autres championnats. Elle ne se cantonne plus aujourd'hui à un Big Four composé d'Arsenal, de Chelsea, de Liverpool et de Manchester United. On voit grossir les Tottenham, Manchester City, Newcastle, Fulham...
L'argent des télés et des sponsors contribuent non seulement à faire venir les "top players", mais aussi les meilleurs "staffs" qui préparent de manière optimale les joueurs pour les matchs du weekend.
Au pays du foot, bon nombre d'éléments sont réunis pour offrir le meilleur spectacle aux amateurs de ballon rond.
Je vais continuer à me régaler chaque semaine devant le "Match of Ze Day" du truculent Darren Tulett.
Et pour finir en beauté, s'il fallait une preuve que la "Magic League" est le Championnat le plus sexy de la planète football, la voici :
Alors, qui va gagner ?
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